Le symbole est fort : en janvier 2018, 320 start-up françaises ont exposé au Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas, le plus grand salon high-tech du monde. Il y a trois ans, elles n’étaient que 66. Soutenu par le gouvernement, qui souhaite – selon les mots mêmes d’Emmanuel Macron au dernier salon Viva Tech – « promouvoir un état adapté au XXIème siècle : numérique, innovant et inclusif », le secteur est en plein boom. La France est aujourd’hui le pays européen qui investit le plus dans ces nouveaux modèles derrière le Royaume-Uni, et ses jeunes n’ont jamais été aussi désireux d’entreprendre. Selon un baromètre Moovjee 2017, 36% des étudiants affirmeraient ainsi leur volonté de créer leur entreprise. Parallèlement, les effectifs des quelques 10 000 start up du pays ont augmenté de 25% l’année dernière.
« En accédant à l’emploi, les jeunes membres de la « start up nation » veulent aussi transformer en profondeur le monde du travail. »
Et qu’on les appelle génération Y, Z ou millenials, les actifs nés après 1980 représentent la majeure partie de ce contingent. Si vous faites partie de ce groupe ou travaillez avec quelques- uns de ses représentants, il y a donc de grandes chances pour que vous ne partagiez pas seulement leur désir de créer de nouvelles technologies. Non, en accédant à l’emploi, les jeunes membres de la « start up nation » veulent aussi transformer en profondeur le monde du travail.
‘INVENTER LES BUREAUX DE DEMAIN…DES AUJOURDHUI’
Locaux partagés, disparition des bureaux attitrés, pop-up desks, technologie omniprésente mais mobile, effacement des frontières entre lieu de vie et lieu de travail, transparence architecturale, management horizontal : les start up sont aujourd’hui de fabuleux laboratoires entrepreneuriaux. Tout est placé, entre leurs murs, sous le signe de l’innovation. Pourtant, les actifs nés avec Internet expriment aussi le désir de se reconnecter avec la nature. Les jeunes chargés d’imaginer les bureaux de 2030 pour une étude publiée par JLL, spécialiste de l’immobilier d’entreprise, disaient ainsi vouloir travailler la terre et pouvoir se déconnecter du virtuel au travail. Un souhait qui cadrait d’ailleurs avec leur intention de faire du recyclage une pratique courante, pour mieux « repenser les usages sans créer de nouvelles choses. » et mieux protéger un environnement menacé par des décennies de mauvaises pratiques. Ce constat, l’organisme Global Tolerance l’a aussi fait, en publiant l’année dernière une étude indiquant que 62% des jeunes français souhaitaient travailler pour « des entreprises et des organisations qui cherchent à délivrer un impact environnemental et social positif.»
‘EASY RECYCLAGE INNOVE A VOS CÔTÉS’
RSE et engagement environnemental sont donc aujourd’hui à la fois des arguments de recrutement et de véritables vecteurs d’innovation pour les start up françaises. Dans ce cadre, la valorisation des déchets papiers (pas encore totalement éradiqués par la prédominance du digital), des emballages plastiques ou encore des capsules de café est un enjeu de développement majeur. Mais encore faut-il trouver le bon système ! Alors, comment trier et recycler ses déchets de bureau efficacement ? En faisant appel à des spécialistes, comme Easy Recyclage. Avec ses box installées aux endroits les plus stratégiques de vos locaux, le service du Groupe Paprec vous propose une solution sur-mesure et calibrée selon vos besoins. Particulièrement adapté aux modes de fonctionnement émergents, qui font la part belle à la circulation de collaborateurs volants, ce système d’apport volontaire permet aussi de limiter le nombre de poubelles dans les espaces souvent restreints occupés par les start-up. Mais il souligne aussi l’ambition du leader français indépendant du recyclage : celle d’inventer, dès maintenant et avec vous, le monde de demain !
